Scan barcode
dafni's review against another edition
emotional
inspiring
reflective
fast-paced
4.0
Graphic: Ableism and Classism
theirgracegrace's review against another edition
dark
slow-paced
4.25
Après avoir lu En finir avec Eddy Bellegueule, je croyais savoir tout d'Édouard Louis. Mais Qui a tué mon père sert bien comme accompaniment à ce livre, ainsi qu'un bon livre tout seul. Décrivant le rapprochement échoué entre Louis et son père, Qui a tué mon père n'est pas une question. Louis accuse le gouvernement de la France et l'établissement libéral d'avoir forcé son père à bosser constamment, même après sa blessure. Il accuse également les croyances de la masculinité toxique qui influent sur l'homophobie et le classisme vécus par Louis pendant son enfance. Avec beaucoup de force, Louis met l'accent sur la violence ; non la violence avec des poings, mais celle véhiculée par les lois et les malentendus des politiques.
Graphic: Addiction, Alcoholism, Child abuse, Cursing, Death, Domestic abuse, Emotional abuse, Physical abuse, Toxic relationship, Violence, Grief, Car accident, Death of parent, Alcohol, and Classism
Moderate: Ableism, Bullying, Fatphobia, Homophobia, Misogyny, Sexism, and Gaslighting
Minor: Cancer, Infidelity, Pedophilia, Racism, Xenophobia, Antisemitism, and Islamophobia
Une scène en particulier mentionne les événements de 9/11 aux États-Unis.