Reviews

Gilgamesh the King by Robert Silverberg

carolyn227's review against another edition

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4.0

This really has helped bring the epic alive, and has helped us to really understand what is going on and keeping it interesting.

busyenjoyinglife's review against another edition

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4.0

i had no idea what this was when i picked it up.

reads kind of like historical fiction. in a really weird fantasy-like way.

smgrable's review against another edition

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4.0

An ambitious and sprawling retelling of the Gilgamesh epic from the perspective of the King himself! Masterfully written; I was in awe page-by-page of the author's ability to channel the voice of a character who embodies the very definition of "larger than life."

The story centers, naturally, around Gilgamesh and his life and kingship of the city of Uruk, his own telling of his own story. The opening scene is the death and funeral of his father, a king himself and a god incarnate, which deeply seats a fear of death in young Gilgamesh. As he grows into a man, Gilgamesh faces the wrath of weak kings, the machinations of neighboring lords and priestesses, the will of the gods, and the glorious and devious goddess Inanna. He gains and loses a brother in his only physical equal, Enkidu, and crosses the world in search of immortality, the only thing he cannot possess.

Pick up a copy of this one... well worth the read, with beautiful lessons on trust, leadership, the role of myth and legend in the world, and the disappointment of heroes in myth and reality. Especially lovely if you have read any of the translations of the original Gilgamesh Epic.

aditurbo's review against another edition

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4.0

I've learned so much from this novel - about the culture, history and beliefs of the early people of Mesopotamia. Silverberg researched the subject well, and managed to bring to life the old myths of Gilgamesh, who went looking for eternal life. This modern version really helped me understand these old peoples' way of thinking, how natural phenomena connected with their religious beliefs, and how they explained them. Beyond that, there are many universal things in this story in terms of the human condition - loneliness, loyalty, fear of death, friendship and betrayal, and more. Silverberg surprised me with how good his writing is, and how well he has made everything believeable and understandable, even when things are much different than in our world. All in all, he provided us with the opportunity to read this ancient story in an enriching and enlightening way. Very enjoyable and readable.

riduidel's review against another edition

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3.0

J'ai lu ce livre essentiellement parce que ma fille semble devoir étudier cette oeuvre l'année prochaine ... Mais j'y reviendrai.
Il raconte donc la vie de Gilgamesh, devenu roi d'Uruk à la suite d'une habile machination d'un royaume ambitionnant de prendre de la place d'Uruk (première ville du monde à l'époque, semble-t-il). Il devient donc roi, dans une ville dominée principalement par la déesse de la Lune et sa déesse ... avec laquelle il a des relations amoureuses sacrées faciles, mais personnelles extrêmement ambiguës. Une fois roi, il fera la guerre, il partira faire des quêtes dans le but d'augmenter son prestige (et celui d'Uruk, bien sûr), et sera touché par un sort funeste.
Bon.
Silverberg est, de façon incontestable, l'un des plus grands auteurs de SF. Et je me demandai au début de cette oeuvre pourquoi il s'attaquait à un mythe aussi antique (6000 ans d'histoire, quand même). Après l'avoir lu, j'ai compris. Silverberg tente de nous démontrer que ce mythe est avant tout un formidable récit de la fantasy la plus archétypale qui soit. En effet, il nous montre un homme prenant en main son destin, comme un Conan, par exemple, et affrontant une suite d'étapes lui permettant d'assoir sa place dans l'univers, comme n'importe quel récit initiatique pourrait le faire. Evidement, il le fait en reprenant une écriture, ou plutôt des concepts, un peu datés. Ainsi, les malades sont soignés selon les oracles, et la vie de ce roi est rythmée non par son pouvoir absolu, mais par ses obligations sacrées, parce qu'il est avant tout le premier serviteur des dieux.
D'autres choses sont intéressantes dans ce roman, au premier lieu desquelles la réutilisation de certains éléments de ce mythe. J'en ai noté au moins d'eux : l'un célèbre au-delà du possible, et l'autre beaucoup plus confidentiel.
Le premier exemple est évidement le déluge, repompé tel quel dans la bible (enfin, sous sa forme mythique, et pas sous la forme qui sera finalement expliquée à Gilgamesh).
Le second est l'ensemble de cultes présenté ici, qui sera, je pense, réutilisé dans le jeu de rôles Runequest : on retrouve en effet un panthéon solaire au milieu duquel une déesse de la Lune est apparu sous une forme faible, avant de s'élever dans le panthéon pour en devenir la déesse principale (oui, je parle de l'empire Lunar et de la Lune Rouge).
Un troisième exemple me vient maintenant à l'esprit, mais il est beaucoup moins évident. J'ai bien l'impression que Gilgamesh et sa quête d'immortalité corporelle a servi de prototype au Jésus chrétien. Dans les deux cas, le héros est en quête d'immortalité. Dans les deux cas également, sa quête d'immortalité va l'emmener loin. Très loin.
Allez, un dernier point. Je disais en introduction que je l'avais lu parce que c'était une oeuvre étudiée par les jeunes collégiens. Et même pas dans cette version très joliment romancée, hein. Non, dans une espèce de version aride, ne faisant pas de choix dans les différentes interprétations des différents épisodes de la vie du héros, bref, un truc chiant. Au-delà de la traduction, je ne vois pas l'intérêt de cette étude, à moins bien sûr de se placer dans une optique de déconstruction religieuse extrêmement douteuse. Parce que bon, nous faire un truc sur l'apparition de la civilisation en parlant de ce roman, ou sur le style de vie mésopottamien, me paraît également assez peu crédible. Alors ? Ca sert à quoi d'étudier ce mythe en 6ème ? C'est quoi la valeur éducative de cette histoire ?
Parce qu'il ne s'agit finalement que d'une histoire sympathique, rempli de sentiments hyperboliques, mais qui franchement, sous cette forme (qui est une nette amélioration d'une traduction universitaire de ce mythe) n'a rien d'exceptionnel.

traveller1's review against another edition

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5.0

Silverberg is always good, often great, here he is at his greatest. An epic story retold in modern format. The great King who conquers all, but what he fears most—death. A dream-like quality, mythic, primitive, primal, intimate, compelling and surprisingly real. The sequel, where Gilgamesh continues his life and adventures in the afterlife, is equally good.
I did read the novel way before this 2005 edition, but no longer have those details.
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