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Meno by Plato (Greek Philosopher)

ihopethisusernameisnotaken's review against another edition

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challenging informative reflective fast-paced

3.5

kimilou's review against another edition

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4.0

Dialogue entre Ménon et le Socrate interprété par Platon, avec l’intervention de l’Anytos vexé.
Les point principales développés:
Ménon se demande si la vertu s’enseigne.
Socrate veut commencer par la définition de la vertu, donc le concept et non les parties du concept de la vertu, ce que Ménon n’arrive pas à comprendre.
Ménon propose donc: la vertu est de désirer le bien et d’avoir la puissance de se les procurer. (Présuppose que il y’a des personnes qui désir le mal)
Socrate explique que personne désir le mal sachant que c’est le mal. Ceux qui « le » désire ne savent pas ce que c’est le mal ou se trompe sur la nature du bien.
Ménon: Vertu c’est donc la puissance de se procurer les bien.
Socrate: mais on peut pas se les procurer n’importe comment, seulement avec justice et piété sinon ça serait de la vice.
Ménon: justice est donc vertu?
Même si il a appris que le courage ou la justice c’est des idées vertueuses et donc une partie de la vertu appliquée et non la vertu en soi, il n’arrive pas à définir la vertu et revient donc sur sa question initiale.
Socrate lui explique qu’il n’arrive pas à savoir si vertu s’enseigne ou non si il ne sait pas que c’est alors il part d’hypothèse.
Hypothèse 1: vertu est connaissance(car savoir guide action correcte et qualité de vertu s’oppose aux vices). Ça veut dire qu’elle s’enseigne comme science, alors forcément il y a des maîtres de vertus. Socrate dit qu’il n’a jamais rencontré des maîtres de vertus alors elle ne s’enseigne pas.
Hypothèse 2: vertu est opinion vraie(peut aussi guider l’action bonne). Alors que l’opinion vraie est aussi efficace que savoir pour la pratique, elle est instable car elle dépend du hasard parce que au contraire du savoir elle ne fait pas des liens. Donc l’humain avec opinion vraie l’a obtenu par faveur divine donc par chance. Donc ne peut pas non plus s’enseigner. Or n’est pas non plus née bien, sinon ils serait triés dès la naissance.
Paradoxe de la recherche:
Comment chercher qqch que l’on connaît pas si on ne connaît pas la chose qu’on cherche. Pourquoi chercher chose quand connaît si on la connaît.
=>par du fait qu’on connaît soi totalement ou pas du tout
S: nous ne savons pas se que sait la vertu mais nous avons déjà évoqué quelques aspect pratique de la vertus comme le courage la justice qui étais juste.
Socrate dit qu’il n’enseigne pas mais l’âme a une capacité de réminiscence et donc le savoir est on nous mais juste couvert d’une couche d’oubli que Socrate aide à enlever.(ex: du jeune esclave)
Conclusion:
La vertu ne s’enseigne pas mais s’apprend. Qui est « le maître de la vertu » ? C’est Socrate car il ne l’enseigne pas mais il aides au personnes à se remémorer. Et il ne prétend pas savoir qqch qu’il ne sait pas car il admet qu’il ne sait pas ce que c’est la vertu alors il n’est pas ignorant et sait déjà quelque chose de plus que les autres.

trekbicycles's review against another edition

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5.0

“Socrates, before I even met you I used to hear that you are always in a state of perplexity and that you bring others to the same state, and now I think you are bewitching and beguiling me, simply putting me under a spell, so that I am quite perplexed.”

matthewabush's review against another edition

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4.0

I am reading Plato as a number of his dialogues are on my lifetime reading list. I can't say that I am overly enjoying it, but Meno is one of the betters ones so far.

I felt like there was actually a conclusion to this dialogue. If you are only going to read one Platonic dialogue, this may be the one. It is rather short as well.

peannlewis's review against another edition

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challenging reflective slow-paced

4.75


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cso's review against another edition

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I find it funny how Socrates sees memory as the opposite of creation. Memory is this hard, stubborn neccesity, it is true, yet memory is created and shaped. This is the theological blindspot of Socrates, it seems.

culannrobinson's review against another edition

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5.0

The idea of true belief being the guide of people, rather than knowledge, is a gateway to the world. Beliefs are forged who knows how, by the accumulation of experiences and inherited beliefs, and are a mystery perhaps even to those who hold them. Take this away and the world is full of people to talk to, to form fruitful partnerships with, and achieve meaningful compromises. You can see why it’s a set text as it contains some of Plato, and by extension Socrates’ most interesting thinking. 

moireads's review against another edition

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challenging informative reflective fast-paced

4.0

kaitlyn_wren's review against another edition

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3.0

i’ll want to reread this when i have more time and i’m not just skimming to prep for an exam cause i feel like i really didn’t give this the thought it deserved

maxxslibraries's review against another edition

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informative reflective slow-paced

4.25