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A review by eliza_m_ecrire
Wasurenagusa by Aki Shimazaki
4.0
Comme pour les trois premiers volets de cette série, je poursuis ma lecture en entrant à présent dans le quatrième, centré sur Kenji Takahashi, le père adoptif de Yukio et le mari de Mariko.
Kenji est l’héritier de la famille Takahashi. Il se marie une première fois, mais divorce quand lui et sa femme ne sont pas en mesure de concevoir. Quand celle-ci tombe enceinte dans son second mariage, il découvre qu’en vérité, c’est lui qui est stérile. Sachant cela, il épouse Mariko, une mère célibataire d’un enfant naturel.
Je dois avouer que je ne m’attendais pas à avoir un tome sur ce personnage. Son rôle était bien tranché jusqu’ici comme le père adoptif qui a sauvé Mariko et Yukio de la misère, puis qui a survécu au camp de travail en Sibérie. Alors avoir un peu de son passé, le contexte précédant tout cela, ça a bien contribué à une chose : rendre ce personnage encore plus honorable. Surtout puisqu’il doit s’agir du personnage le plus altruiste qu’il y a dans toute la série.
En revanche, même si c’est effectivement un aspect intéressant qui sert le personnage de Kenji qui est un peu en retrait du reste… l’utilité dans l’ensemble de la série n’est pas vraiment là. Très franchement, c’est un tome qui n’était pas particulièrement nécessaire et qui n’apporte pas une tonne de nouveaux éléments qui auront une certaine perpétuité. Le premier installe la base, le deuxième l’approfondit, le troisième nous fait découvrir les origines et celui-ci… est là.
La plume de Shimazaki reste incroyable ceci dit. Notre lecture se fait toujours de façon tout aussi agréable, ça, je ne peux pas le nier. C’est ce qui fait que globalement, j’ai beaucoup aimé ce tome. Cependant, son utilité n’est pas vraiment un facteur notable, alors c’est à prendre en compte.
Kenji est l’héritier de la famille Takahashi. Il se marie une première fois, mais divorce quand lui et sa femme ne sont pas en mesure de concevoir. Quand celle-ci tombe enceinte dans son second mariage, il découvre qu’en vérité, c’est lui qui est stérile. Sachant cela, il épouse Mariko, une mère célibataire d’un enfant naturel.
Je dois avouer que je ne m’attendais pas à avoir un tome sur ce personnage. Son rôle était bien tranché jusqu’ici comme le père adoptif qui a sauvé Mariko et Yukio de la misère, puis qui a survécu au camp de travail en Sibérie. Alors avoir un peu de son passé, le contexte précédant tout cela, ça a bien contribué à une chose : rendre ce personnage encore plus honorable. Surtout puisqu’il doit s’agir du personnage le plus altruiste qu’il y a dans toute la série.
En revanche, même si c’est effectivement un aspect intéressant qui sert le personnage de Kenji qui est un peu en retrait du reste… l’utilité dans l’ensemble de la série n’est pas vraiment là. Très franchement, c’est un tome qui n’était pas particulièrement nécessaire et qui n’apporte pas une tonne de nouveaux éléments qui auront une certaine perpétuité. Le premier installe la base, le deuxième l’approfondit, le troisième nous fait découvrir les origines et celui-ci… est là.
La plume de Shimazaki reste incroyable ceci dit. Notre lecture se fait toujours de façon tout aussi agréable, ça, je ne peux pas le nier. C’est ce qui fait que globalement, j’ai beaucoup aimé ce tome. Cependant, son utilité n’est pas vraiment un facteur notable, alors c’est à prendre en compte.