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A review by audelidou
L'hôtel de verre by Emily St. John Mandel
mysterious
medium-paced
- Plot- or character-driven? Plot
- Strong character development? No
- Loveable characters? No
- Diverse cast of characters? Yes
- Flaws of characters a main focus? Yes
3.0
D'entrée de jeu, le livre avait un gros avantage et un gros désavantage. J'aime beaucoup le style de St. John Mandel, sa narration déconstruite, les multiples histoires qui se croisent et s'éloignent. Ce travail de reconstruction de la trame temporelle et de création de liens entre les histoires et entre les personnages est amusant. Le lectorat n'est pas agacé par cette narration unique, mais plutôt charmé et piqué dans son intérêt.
Toutefois, le sujet m'intéressait beaucoup moins. L'histoire tourne autour de personnages qui ont investi dans le fonds de Jonathan Alkaitis. Le problème, c'est que je déteste tout ce qui a un lien avec la finance. Je trouve le sujet d'un ennui épouvantable ! Donc je n'étais pas vraiment intéressée par l'histoire.
Une chance que la narration et les personnages étaient prenants ! Puisque je les trouvais profondément humains et imparfaits, j'aimais avoir accès aux pensées et au vécu de chacun des personnages entremêlé à cette toile narrative et financière.
Je trouve que la fin du livre renoue avec ce qui m'a fait aimer les autres livres de Mandel, soit cette apparition du surnaturel ou du science-fictionnel dans un monde que nous connaissons. Si tout le livre avait été ainsi, j'aurais adoré ! Mais bon. C'est une lecture plaisante, sans plus ni moins.
Ayant lu La mer de la tranquillité avant, j'ai aimé voir les débuts de certains personnages et de certains thèmes qu'on retrouve dans cet autre bouquin qui a été écrit après L'hôtel de verre. J'ai pu comprendre toutes les références, ce que je trouvais chouette ! Cela m'a aidé à un peu plus apprécier ma lecture.
Toutefois, le sujet m'intéressait beaucoup moins. L'histoire tourne autour de personnages qui ont investi dans le fonds de Jonathan Alkaitis. Le problème, c'est que je déteste tout ce qui a un lien avec la finance. Je trouve le sujet d'un ennui épouvantable ! Donc je n'étais pas vraiment intéressée par l'histoire.
Une chance que la narration et les personnages étaient prenants ! Puisque je les trouvais profondément humains et imparfaits, j'aimais avoir accès aux pensées et au vécu de chacun des personnages entremêlé à cette toile narrative et financière.
Je trouve que la fin du livre renoue avec ce qui m'a fait aimer les autres livres de Mandel, soit cette apparition du surnaturel ou du science-fictionnel dans un monde que nous connaissons. Si tout le livre avait été ainsi, j'aurais adoré ! Mais bon. C'est une lecture plaisante, sans plus ni moins.
Ayant lu La mer de la tranquillité avant, j'ai aimé voir les débuts de certains personnages et de certains thèmes qu'on retrouve dans cet autre bouquin qui a été écrit après L'hôtel de verre. J'ai pu comprendre toutes les références, ce que je trouvais chouette ! Cela m'a aidé à un peu plus apprécier ma lecture.
Graphic: Drug abuse and Drug use
Moderate: Death of parent
Minor: Death and Suicide