Scan barcode
A review by niffler_for_words
La petite marchande de prose by Daniel Pennac
adventurous
challenging
emotional
funny
lighthearted
mysterious
relaxing
tense
fast-paced
- Plot- or character-driven? A mix
- Strong character development? It's complicated
- Loveable characters? Yes
- Diverse cast of characters? Yes
- Flaws of characters a main focus? It's complicated
4.0
“Quand la vie ne tient plus qu’à un fil, c’est fou le prix du fil.”
Je poursuis mon écoute/relecture de la saga Malaussène avec la Petite Marchande de Prose.
La recette est la même que dans les deux tomes précédents: une écriture qui dynamite les codes et la société et un (des) mystère(s) qui fait (font) tourner les pages. J’ai encore une fois jubilé en écoutant cette histoire (et fait monter mon compteur de pas vu que je n’avais pas envie que ça s’arrête).
Une ode à la littérature mais qui ironise le monde de l’édition et “l’objet livre” et regarde avec interrogation et tendresse la littérature de genre. Un regard interrogateur sur la médecine et l’univers carcéral… et une critique terrible de la société de l’image.
Encore une fois, on a peine à réaliser que ces livres ont été écrits à la fin des années 80 tant le discours (et les personnages féminins) sont modernes et d’actualité.
Toutefois, et même si la saga Malaussène est avant tout une caricature destinée à mettre le propos en abîme, certains aspects, en particulier médicaux, sont un peu trop grandiloquents à mon goût et m’ont empêchée, par moment, de totalement apprécier ma lecture ce coup-ci. J’ai aussi trouvé le parallélisme inversé Julie/Benjamin (par rapport à la Fée Carabine) un peu trop facile pour être totalement embarquée. J’ai toutefois dévoré cet audio en 3 jours à peine donc… tout reste fort relatif.
Vivement la sortie audible (si elle a lieu, SVP, dîtes-moi que oui) de Monsieur Malaussène.
Je poursuis mon écoute/relecture de la saga Malaussène avec la Petite Marchande de Prose.
La recette est la même que dans les deux tomes précédents: une écriture qui dynamite les codes et la société et un (des) mystère(s) qui fait (font) tourner les pages. J’ai encore une fois jubilé en écoutant cette histoire (et fait monter mon compteur de pas vu que je n’avais pas envie que ça s’arrête).
Une ode à la littérature mais qui ironise le monde de l’édition et “l’objet livre” et regarde avec interrogation et tendresse la littérature de genre. Un regard interrogateur sur la médecine et l’univers carcéral… et une critique terrible de la société de l’image.
Encore une fois, on a peine à réaliser que ces livres ont été écrits à la fin des années 80 tant le discours (et les personnages féminins) sont modernes et d’actualité.
Toutefois, et même si la saga Malaussène est avant tout une caricature destinée à mettre le propos en abîme, certains aspects, en particulier médicaux, sont un peu trop grandiloquents à mon goût et m’ont empêchée, par moment, de totalement apprécier ma lecture ce coup-ci. J’ai aussi trouvé le parallélisme inversé Julie/Benjamin (par rapport à la Fée Carabine) un peu trop facile pour être totalement embarquée. J’ai toutefois dévoré cet audio en 3 jours à peine donc… tout reste fort relatif.
Vivement la sortie audible (si elle a lieu, SVP, dîtes-moi que oui) de Monsieur Malaussène.