A review by leasaurusrex
Jonathan Strange & Mr Norrell, by Susanna Clarke
Did not finish book. Stopped at 50%.
C’est donc un DNF (abandon) pour ce roman.
Il me semble (en tout cas je l’espère très très fort) que l’autrice tentait de dénoncer le sexisme et le racisme du dix-neuvième siècle. Manque de pot pour nous, elle décide de le faire en écrivant quand même des descriptions racistes et en utilisant beaucoup trop le n-word (une fois c’est déjà trop, alors quand on finit par perdre le compte vu le nombre d’occurrences…). Ah et en oubliant d’avoir des persos féminins aussi.
À côté de ça, même si la plume est accessible et que l’histoire se suit sans trop de souci, il y a quand même un sacré manque d’enjeu. J’ai lu la première moitié du roman et je n’en retire que les choses suivantes :
— on a un vieux chieur qui fait du <i>gatekeeping</i> sur la magie mais qui veut aussi être celui qui la rétablit aux yeux du peuple ;
— on a un jeune aux dents qui raient le parquet et qui va forcément faire des bêtises ;
— ces deux-là et tous les messieurs qui les entourent brassent de l’air et se touchent et l’intrigue n’avance pas.
Du coup j’ai réalisé que je m’en fichais de connaître l’avenir de tout ce petit monde. Et ça c’est quand même mauvais signe.
Sans compter les petites <i>private jokes</i> sur l’Histoire et la rivalité franco-anglaise qui avaient plus tendance à me lasser qu’autre chose…
C’est dommage parce qu’il y avait du potentiel. Mais quitte à écrire un roman de fantasy sur une Angleterre où la magie existe, autant dénoncer <i>correctement</i> les oppressions ou carrément… idée audacieuse… les supprimer………..
Il me semble (en tout cas je l’espère très très fort) que l’autrice tentait de dénoncer le sexisme et le racisme du dix-neuvième siècle. Manque de pot pour nous, elle décide de le faire en écrivant quand même des descriptions racistes et en utilisant beaucoup trop le n-word (une fois c’est déjà trop, alors quand on finit par perdre le compte vu le nombre d’occurrences…). Ah et en oubliant d’avoir des persos féminins aussi.
À côté de ça, même si la plume est accessible et que l’histoire se suit sans trop de souci, il y a quand même un sacré manque d’enjeu. J’ai lu la première moitié du roman et je n’en retire que les choses suivantes :
— on a un vieux chieur qui fait du <i>gatekeeping</i> sur la magie mais qui veut aussi être celui qui la rétablit aux yeux du peuple ;
— on a un jeune aux dents qui raient le parquet et qui va forcément faire des bêtises ;
— ces deux-là et tous les messieurs qui les entourent brassent de l’air et se touchent et l’intrigue n’avance pas.
Du coup j’ai réalisé que je m’en fichais de connaître l’avenir de tout ce petit monde. Et ça c’est quand même mauvais signe.
Sans compter les petites <i>private jokes</i> sur l’Histoire et la rivalité franco-anglaise qui avaient plus tendance à me lasser qu’autre chose…
C’est dommage parce qu’il y avait du potentiel. Mais quitte à écrire un roman de fantasy sur une Angleterre où la magie existe, autant dénoncer <i>correctement</i> les oppressions ou carrément… idée audacieuse… les supprimer………..
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Graphic: Racial slurs and Racism