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A review by alixgray
As The Light Goes Out by Olive J. Kelley
sad
fast-paced
- Plot- or character-driven? Character
- Strong character development? It's complicated
- Loveable characters? No
- Diverse cast of characters? Yes
- Flaws of characters a main focus? Yes
1.0
L’histoire était bien partie, mais il y a eu trop de choses rebutantes pour moi. Notamment le fait que tout soit atrocement rushé et survolé sur autant de sujets sensibles et importants. (À peine trois lignes pour dire que Bruce a traversé un syndrome post-partum?!😒).
Le personnage principal est un citadin qui arrive dans un petit village de bord de mer avec l'ambition candide de rénover le phare pour en faire un Airbnb.
L’accueil des habitants est d’instinct hostile et le love interest fait plus tard des révélations qui indiquent un comportement digne d’une secte et à la limite de la xénophobie (même si le terme est un peu fort car ils n’aiment juste pas les étrangers à leur communauté, ni que de nouvelles personnes visitent le village, ou qu’elles restent trop longtemps…👀)
Mon plus gros soucis a été le love interest lui-même.😭 Je l’adorais… jusqu’à ce qu’il ouvre la bouche.
Bon sang, pour quelqu’un qui veut faire changer d’avis un citadin sur son projet de rénover de phare, il devrait lui balancer moins d’insultes.
Il rejoint le comportement agressif des autres habitants en le traitant de privilégiés et de fainéants (parmi d’autres clichés) parce qu’il habite dans une grande ville mais personne ne le connaît, ni ne le laisse s’expliquer sur ce qui l’a fait acheter un phare au milieu de nul part.😤
C’est l’effet miroir des citadins élitistes qui débarquent à la campagne et traitent les habitants de cul-terreux.
Je pense que la romance aurait été plus crédible si elle avait pris un peu plus de temps pour se construire. (Simon décide de déménager pour un type qu’il a rencontrer littéralement deux jours plus tôt).
Ils ne se connaissent pas du tout et Bruce lui a littéralement dit qu’il ne l’aimait pas et le traite comme de la merde mais Simon a l’air d’aimer ça donc la seconde d’après ils ba*sent.🤷 Le pauvre Simon se fait basiquement cracher dessus mais a oublié d’avoir de l’estime de soi donc allons-y!🙄
Pardon mais ça m’a plus donné la nausée qu’autre chose, ça ressemblait juste à un mec qui utilise une poupée gonflable. Même niveau de respect.
Le dernier clou dans le cercueil a été que Bruce a osé comparer le fait qu’il n’avait pas le courage de voir sa fille au fait que le trouble bipolaire/TDAH de Simon l’empêchaient de terminer un projet.
Lutter avec la chimie de son cerveau pour ne serait-ce que prendre une douche et qui l’empêche de vivre aussi pleinement qu’il en a désespérément envie, ce n’est absolument pas la même chose que de ne pas avoir les couilles d’affronter ses déficiences parentales.😡
La banalisation de la souffrance de Simon et la condescendant de Bruce sont vraiment écœurantes.
Le personnage principal est un citadin qui arrive dans un petit village de bord de mer avec l'ambition candide de rénover le phare pour en faire un Airbnb.
L’accueil des habitants est d’instinct hostile et le love interest fait plus tard des révélations qui indiquent un comportement digne d’une secte et à la limite de la xénophobie (même si le terme est un peu fort car ils n’aiment juste pas les étrangers à leur communauté, ni que de nouvelles personnes visitent le village, ou qu’elles restent trop longtemps…👀)
Mon plus gros soucis a été le love interest lui-même.😭 Je l’adorais… jusqu’à ce qu’il ouvre la bouche.
Bon sang, pour quelqu’un qui veut faire changer d’avis un citadin sur son projet de rénover de phare, il devrait lui balancer moins d’insultes.
Il rejoint le comportement agressif des autres habitants en le traitant de privilégiés et de fainéants (parmi d’autres clichés) parce qu’il habite dans une grande ville mais personne ne le connaît, ni ne le laisse s’expliquer sur ce qui l’a fait acheter un phare au milieu de nul part.😤
C’est l’effet miroir des citadins élitistes qui débarquent à la campagne et traitent les habitants de cul-terreux.
Je pense que la romance aurait été plus crédible si elle avait pris un peu plus de temps pour se construire. (Simon décide de déménager pour un type qu’il a rencontrer littéralement deux jours plus tôt).
Ils ne se connaissent pas du tout et Bruce lui a littéralement dit qu’il ne l’aimait pas et le traite comme de la merde mais Simon a l’air d’aimer ça donc la seconde d’après ils ba*sent.🤷 Le pauvre Simon se fait basiquement cracher dessus mais a oublié d’avoir de l’estime de soi donc allons-y!🙄
Pardon mais ça m’a plus donné la nausée qu’autre chose, ça ressemblait juste à un mec qui utilise une poupée gonflable. Même niveau de respect.
Le dernier clou dans le cercueil a été que Bruce a osé comparer le fait qu’il n’avait pas le courage de voir sa fille au fait que le trouble bipolaire/TDAH de Simon l’empêchaient de terminer un projet.
Lutter avec la chimie de son cerveau pour ne serait-ce que prendre une douche et qui l’empêche de vivre aussi pleinement qu’il en a désespérément envie, ce n’est absolument pas la même chose que de ne pas avoir les couilles d’affronter ses déficiences parentales.😡
La banalisation de la souffrance de Simon et la condescendant de Bruce sont vraiment écœurantes.