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A review by zasou_reads
L'Affaire Alaska Sanders by Joël Dicker
3.5
Une jeune femme, Alaska Sanders, a été retrouvée morte au bord d'un lac en 1999. Des suspects ont été interrogés, des accusations ont été portées, le verdict est tombé, un coupable enfermé. Mais 11 ans plus tard, l'affaire ressurgit, et Marcus et Gahalowood enquêtent.
Il s'agit d'un roman policier, le troisième de la série avec Marcus Goldman. Dans celui-ci, plusieurs enquêtes que l'on croyait bouclées se recoupent. Ça fait un moment que j'ai lu du Dicker, et je ne me rappelais pas à quel point il prenait des détours dans ses histoires. Je ne me rappelle pas que ça m'ait tant dérangée dans Harry Québert, Stéphanie Mailer ou 622, mais dans celui-ci, l'histoire était tellement alambiquée et complexe qu'elle perdait souvent mon intérêt. On passe sans cesse d'une ligne du temps à une autre que j'avais parfois du mal à suivre. Et je ne parle pas seulement de 2 lignes, style présent/passé qui s'alternent. Il y a le présent, puis le passé, puis un peu moins dans le passé, puis un peu plus dans le passé, puis de re tour au présent, avant de replonger dans un des passés, et tour ça sans vraiment d'ordre particulier. Est-ce que les 600 pages étaient nécessaires? Probablement pas. Le tout paraît un peu gros et tiré par les cheveux, mais la fin est satisfaisante et bien ficelée, et laisse entendre qu'il y aura un autre livre et une autre enquête.
Il s'agit d'un roman policier, le troisième de la série avec Marcus Goldman. Dans celui-ci, plusieurs enquêtes que l'on croyait bouclées se recoupent. Ça fait un moment que j'ai lu du Dicker, et je ne me rappelais pas à quel point il prenait des détours dans ses histoires. Je ne me rappelle pas que ça m'ait tant dérangée dans Harry Québert, Stéphanie Mailer ou 622, mais dans celui-ci, l'histoire était tellement alambiquée et complexe qu'elle perdait souvent mon intérêt. On passe sans cesse d'une ligne du temps à une autre que j'avais parfois du mal à suivre. Et je ne parle pas seulement de 2 lignes, style présent/passé qui s'alternent. Il y a le présent, puis le passé, puis un peu moins dans le passé, puis un peu plus dans le passé, puis de re tour au présent, avant de replonger dans un des passés, et tour ça sans vraiment d'ordre particulier. Est-ce que les 600 pages étaient nécessaires? Probablement pas. Le tout paraît un peu gros et tiré par les cheveux, mais la fin est satisfaisante et bien ficelée, et laisse entendre qu'il y aura un autre livre et une autre enquête.