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A review by planty_booky
Le cercle des géographes by Ina Siel
5.0
Et encore une claque de Ina Siel, qui est définitivement dans ma liste d'auteur.ice.s de qui j'achète automatiquement les livres. J'avais adoré son premier livre, mais la on est encore un cran au-dessus et ce récit brille par son originalité, le sous-texte (les mentions de colonialisme et de politiques opportunistes ne sont pas passées inaperçues) et ses personnages tellement uniques. Si ils semblaient de prime abord n'être que des caricatures de mariage arrangé, ils évoluent très vite vers des versions bien plus profondes d'eux-mêmes.
L'autrice à raison de pitcher son livre comme un "Jane Austen qui finit comme un Miyazaki", car à partir de la moitié du livre on pars vers un tout autre univers, et c'est bien la seule partie que je n'ai pas apprécié du roman: il aurait bien mérité 100, 150 pages de plus pour parler de tout ce qui a été ellipsé (les adieux avant le voyage, surtout !! On m'a volé les adieux avec Myrtile et je ne m'en remettrai jamais). Et c'est bien la première fois que je demande plus de pages et pas moins !!
Même si j'ai adoré la deuxième partie, j'ai particulièrement aimé la première et ses intrigues politiques, son monde à la Renaissance entremêlé de technologie. Même si l'héroïne passe de quelqu'un émerveillé par les ampoules qui peu après trouve des drones normaux m'a fait sourire, on y voit bien le contraste entre les mondes qui était super bien amené.
Aussi j'ai un gros point positif à amener en ce qui concerne l'écriture ! C'est très rare pour des auteurices francophones de me transporter autant avec leur prose, souvent soit je la trouve trop lourde, soit trop simple. Mais la c'était un parfait entre-deux qui n'enlevait en rien la poésie des mots, sans trop de tell et beaucoup de show.
Je pourrais en parler encore pendant des heures mais vous avez compris le principe, lisez ce livre si vous aimez le Green academia et les histoires uniques en leur genre !
L'autrice à raison de pitcher son livre comme un "Jane Austen qui finit comme un Miyazaki", car à partir de la moitié du livre on pars vers un tout autre univers, et c'est bien la seule partie que je n'ai pas apprécié du roman: il aurait bien mérité 100, 150 pages de plus pour parler de tout ce qui a été ellipsé (les adieux avant le voyage, surtout !! On m'a volé les adieux avec Myrtile et je ne m'en remettrai jamais). Et c'est bien la première fois que je demande plus de pages et pas moins !!
Même si j'ai adoré la deuxième partie, j'ai particulièrement aimé la première et ses intrigues politiques, son monde à la Renaissance entremêlé de technologie. Même si l'héroïne passe de quelqu'un émerveillé par les ampoules qui peu après trouve des drones normaux m'a fait sourire, on y voit bien le contraste entre les mondes qui était super bien amené.
Aussi j'ai un gros point positif à amener en ce qui concerne l'écriture ! C'est très rare pour des auteurices francophones de me transporter autant avec leur prose, souvent soit je la trouve trop lourde, soit trop simple. Mais la c'était un parfait entre-deux qui n'enlevait en rien la poésie des mots, sans trop de tell et beaucoup de show.
Je pourrais en parler encore pendant des heures mais vous avez compris le principe, lisez ce livre si vous aimez le Green academia et les histoires uniques en leur genre !