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acoffia's review against another edition
adventurous
challenging
informative
slow-paced
- Plot- or character-driven? A mix
- Strong character development? Yes
- Loveable characters? Yes
- Diverse cast of characters? It's complicated
- Flaws of characters a main focus? It's complicated
3.5
sarajesus95's review against another edition
Actually seem a great historical fiction, about the younger days of Alexander the great ... But did have so many political details that I did not care. And righ now did not seem the ideal time to read this book. Maybe later I will pick it again.
bog_orm's review against another edition
tense
medium-paced
- Plot- or character-driven? Plot
- Strong character development? It's complicated
- Loveable characters? It's complicated
- Diverse cast of characters? No
- Flaws of characters a main focus? No
3.5
lessidisa's review against another edition
5.0
Livre transcendant. L'un des trois meilleurs livres que j'ai lus dans cette vie, avec Cent ans de Solitude et La Loterie. L'autrice utilise un style onirique qui donne l'impression de lire à propos des dieux de l'Olympe. Pourtant on lit un roman qui met en scène des personnes réelles, mais qui existaient dans les années -300 avant Jésus-Christ.
Dans les premières pages j'étais époustouflée par ce livre mais aussi déçue que le roi Philippe et la reine Olympias, parents d'Alexandre le Grand, s'insultent comme des poissonnières. Je trouvais leur niveau de langue inadéquat pour des souverains et pour un livre. Cependant j'ai fini par comprendre, ou décider, qu'un bas niveau de langage représentait le macédonien ou autres langues barbares, et un haut niveau le Grec™. Il ne faut pas s'arrêter à cet inconvénient car il n'est présent qu'au début du livre, ensuite les personnages parlent correctement. Par contre c'est un livre assez confus, on ne comprend pas toujours bien de qui on parle, mais on finit par s’accommoder de cette situation.
Un conseil : quand vous le lirez notez bien les mésaventures de Pausanias, c'est important pour la suite.
C'est un livre unique. Je suis bien contente qu'il s'agisse d'une trilogie.
Elle imposa silence à sa colère, dont la cible était ailleurs, lui apporta un souper fait de tous les petits plats que Léonidas avait bannis et lui posa la tête contre ses seins pour lui faire boire un vin doux épicé. Quand il lui eut expliqué tout le problème comme il parvenait à le comprendre lui-même, elle l'embrassa, le borda, et partit au comble de la rage dire son fait à Léonidas.
La tempête secoua le palais, comme un choc de dieux au-dessus de la plaine de Troie.
Tandis que les Skopiens riaient et juraient d'admiration, le fendoir, chaud, gluant, poisseux, à l'odeur crue, lui fut mis en main. Il s'agenouilla près du corps, se contraignant à garder les yeux ouverts, attaquant opiniâtrement l'os du cou, s'éclaboussant de lambeaux de chair sanglante jusqu'au moment où la tête roula, libre. Saisissant à pleine main les cheveux morts - plus tard, au plus secret de son âme, aucune voix ne devrait pouvoir lui dire : voici quelque chose que tu n'as pas osé faire - il se releva, bien droit.
Il était le témoin. Il était monté là-haut pour tenir entre ses mains la vie d'Alexandre, à qui il avait demandé s'il pensait ce qu'il avait dit. C'était son serment d'amitié.
Comme ils redescendaient par le grand noyer, Héphaistion repensa à l'histoire de Sémélé, aimée de Zeus. Il lui était apparu sous la forme d'un homme, mais ce n'était pas assez beau pour elle : elle avait demandé l'étreinte du dieu dans toute sa majesté. Elle n'y avait pas résisté, elle avait été brûlée vive. Il lui faudrait se préparer, lui aussi, au contact du feu.
Les énormes branches ancestrales s'étendaient au-dessus de lui, morcelant la pâle lueur du soleil. Le tronc central montrait les plissements et nervures de son âge : dans ses fissures, de petits objets votifs avaient été lancés par des fidèles, à des époques si reculées que l'écorce les avait presque engloutis. Une partie s'effritait de pourriture et était mangée par les vers. L'été aurait révélé ce que cachait la nudité d'hiver : certains des principaux membres étaient morts. Sa première racine avait jailli du gland quand Homère était encore en vie ; son temps était proche.
- " « Les dieux ont de nombreux visages », dit Euripide ".
- Euripide a écrit pour des acteurs. Des masques pourrais-tu dire. Oui, des masques. Certains jolis, d’autres non. Mais un seul visage. Un seul.
Dans les premières pages j'étais époustouflée par ce livre mais aussi déçue que le roi Philippe et la reine Olympias, parents d'Alexandre le Grand, s'insultent comme des poissonnières. Je trouvais leur niveau de langue inadéquat pour des souverains et pour un livre. Cependant j'ai fini par comprendre, ou décider, qu'un bas niveau de langage représentait le macédonien ou autres langues barbares, et un haut niveau le Grec™. Il ne faut pas s'arrêter à cet inconvénient car il n'est présent qu'au début du livre, ensuite les personnages parlent correctement. Par contre c'est un livre assez confus, on ne comprend pas toujours bien de qui on parle, mais on finit par s’accommoder de cette situation.
Un conseil : quand vous le lirez notez bien les mésaventures de Pausanias, c'est important pour la suite.
C'est un livre unique. Je suis bien contente qu'il s'agisse d'une trilogie.
Elle imposa silence à sa colère, dont la cible était ailleurs, lui apporta un souper fait de tous les petits plats que Léonidas avait bannis et lui posa la tête contre ses seins pour lui faire boire un vin doux épicé. Quand il lui eut expliqué tout le problème comme il parvenait à le comprendre lui-même, elle l'embrassa, le borda, et partit au comble de la rage dire son fait à Léonidas.
La tempête secoua le palais, comme un choc de dieux au-dessus de la plaine de Troie.
Tandis que les Skopiens riaient et juraient d'admiration, le fendoir, chaud, gluant, poisseux, à l'odeur crue, lui fut mis en main. Il s'agenouilla près du corps, se contraignant à garder les yeux ouverts, attaquant opiniâtrement l'os du cou, s'éclaboussant de lambeaux de chair sanglante jusqu'au moment où la tête roula, libre. Saisissant à pleine main les cheveux morts - plus tard, au plus secret de son âme, aucune voix ne devrait pouvoir lui dire : voici quelque chose que tu n'as pas osé faire - il se releva, bien droit.
Il était le témoin. Il était monté là-haut pour tenir entre ses mains la vie d'Alexandre, à qui il avait demandé s'il pensait ce qu'il avait dit. C'était son serment d'amitié.
Comme ils redescendaient par le grand noyer, Héphaistion repensa à l'histoire de Sémélé, aimée de Zeus. Il lui était apparu sous la forme d'un homme, mais ce n'était pas assez beau pour elle : elle avait demandé l'étreinte du dieu dans toute sa majesté. Elle n'y avait pas résisté, elle avait été brûlée vive. Il lui faudrait se préparer, lui aussi, au contact du feu.
Les énormes branches ancestrales s'étendaient au-dessus de lui, morcelant la pâle lueur du soleil. Le tronc central montrait les plissements et nervures de son âge : dans ses fissures, de petits objets votifs avaient été lancés par des fidèles, à des époques si reculées que l'écorce les avait presque engloutis. Une partie s'effritait de pourriture et était mangée par les vers. L'été aurait révélé ce que cachait la nudité d'hiver : certains des principaux membres étaient morts. Sa première racine avait jailli du gland quand Homère était encore en vie ; son temps était proche.
- " « Les dieux ont de nombreux visages », dit Euripide ".
- Euripide a écrit pour des acteurs. Des masques pourrais-tu dire. Oui, des masques. Certains jolis, d’autres non. Mais un seul visage. Un seul.
lindzlovesreading's review against another edition
3.0
I think I found this book more interesting than anything else. This is book drenched in mythology, incense and history.
coco_lolo's review
3.0
Nearly six years after finishing The Persian Boy, I finally got around to this! And while I think I enjoyed that book more so, Fire from Heaven has spurred a new interest in ancient literature and in learning more about Alexander the Great. Renault's prose is as dense as ever (sometimes a compliment, sometimes a critique), but one thing I appreciated now is how she often talks around things, which requires a degree of inference from the reader. The relationships Alexander has with Philip and Olympias were nuanced, and the family drama was an unexpected element I particularly enjoyed. Hephaistion's voice also came through clearly, sometimes even more so than Alexander's; if I reread The Persian Boy now, I think I'd respond to his character differently. I do think the book would have been stronger had there been more characterization of the secondary characters—aside from the big names, I couldn't keep track of anyone, and the sheer amount of POVs we jumped into seemed excessive, especially toward the end. Lots of political and warfare talk went right over my head, so I didn't even try to read these sections too closely. I've read critique of this book claiming Renault's depiction of Alexander is too perfect, and to an extent I agree, yet I did find him humanized in ways through episodes of pride and brashness, which wiped off some of the gloss and made him more of an actual person rather than a myth.
firefly8041's review against another edition
3.0
2.5
Started off well, but lost interest after about 60%. Sometimes very hard to tell who was being talked about, due to "he" being solely used for pages and pages.
Started off well, but lost interest after about 60%. Sometimes very hard to tell who was being talked about, due to "he" being solely used for pages and pages.
berenikeasteria's review against another edition
5.0
Where to begin in reviewing such a classic of historical fiction? I’ve read Mary Renault before – The King Must Die and The Bull From the Sea; engrossing tales based on the legend of the Greek hero Theseus but grounded in a more historical, plausible world by Renault – but this was my first time reading Renault’s magnum opus. Fire From Heaven is the first book in a trilogy about Alexander the Great, and covers the conqueror’s life from childhood through to the moment he became king at the age of just 20 years old, and is far and away her best work. Frankly, it puts The King Must Die and The Bull From the Sea in the shade.
Renault has an innate sense of time and place, situating the story within its historical and cultural context with sublime skill and understanding. This is such a critical point in immersing the reader in the story. As some who loves both history and reading, it’s fair to say I actively seek out novels recreating the ancient past, and it’s equally fair to say that some of them disappoint the historian in me. I’ve read historical fiction where it’s obvious that the author has completely failed to understand the times he or she is writing about, failed to understand the culture, society, and thought of ancient peoples. For me it’s incredibly frustrating, not to mention jarring, when I want nothing more than to be immersed in ancient Rome or Egypt, only to find myself on a 21st century stage with unconvincing cardboard sets and characters spouting dialogue espousing 21st century values. It’s cringe-inducing. Thank goodness for wonderful writers like Mary Renault. A rarefied few, and I happily count Renault among their number, seem to have genuinely researched the period they’re writing about and succeeded in getting inside their characters’ heads – not to mention, skilfully conveyed this on the page, another challenge entirely. It’s a vicarious experience for a historian – just about the closest to time travel we’ll ever get – and I’m pleased to say Fire From Heaven swept me away to ancient Macedon.
Characterisations are rendered not only deftly but with astonishing vividness and humanity. Renault clearly had a talent for understanding the human condition, and how to make her characters breathe with believable warmth, spirit, and life. It’s easy to forget that the Alexander presented here is a product of Renault’s imagination. His subtle and complex characterisation gives a stamp of authenticity that adds tremendously to the quality of the story. If I can believe a character could exist in real life as an actual human being, my immersion in the tale and my empathy for those characters is exponentially increased. Often, the books I most frequently DNF are those populated by implausible, two-dimensional characters, existing in an inauthentic, fake setting. “It’s only fiction” is quite the rallying cry amongst historical fiction debates – but, for me, it’s got to be believable fiction. Renault actually makes a decision in Fire From Heaven that tweaked my historian’s accuracy radar: in the story Ptolemy is Alexander’s bastard half-brother. As a Ptolemaic enthusiast I’ve got to acknowledge that, on balance of the evidence, it seems extremely unlikely to have actually been the case. But that didn’t keep me from enjoying the book. It’s a minor alteration that ultimately doesn’t affect the plot, and it’s slipped in to a world that is otherwise highly researched and feels real, not just in the facts but in the humanity of the people. The critical factor is not the accuracy, but the believability, and this is something that Renault was a master at creating. Moreover, she doesn’t shy away from allowing the book to have a complex plot, allowing the characters to be complex, contradictory, unexpected human beings – unlike the oversimplified, dumbed down, liquidised historical fiction that some popular authors prefer to spoon feed their readership – and this is why Fire From Heaven succeeds as a novel, and does so spectacularly.
10 out of 10
bethantg's review against another edition
adventurous
slow-paced
- Plot- or character-driven? A mix
- Strong character development? It's complicated
- Diverse cast of characters? No
- Flaws of characters a main focus? No
3.0