Reviews

Il Maestro e Margherita by Mikhail Bulgakov

n0715's review against another edition

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adventurous challenging dark medium-paced
  • Plot- or character-driven? Plot
  • Strong character development? No
  • Loveable characters? No
  • Diverse cast of characters? Yes

3.5

alexsteinkampf's review against another edition

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4.0

Fabelhafte Verrücktheit

laviskrg's review against another edition

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4.0

Arghh, if only I could give this five stars! But alas, I cannot, although it is a very, very well-written book, a classic masterpiece, sometimes fun, sometimes sad, often times deliriously messed up. The reason is the fact that I could not stand the character of the master. This is not due to his literature - which is religious drivel to the absolute - but that is fine since it is well integrated in the plot. I did not enjoy or understand him or his so-called genius. He is clearly a representative of the classic romantic genre but I did not feel like I got to know him or strangely, even that I had to. He paled in comparison with Margarita, who was bad-ass and very nicely drawn out, and in comparison to Woland and his cohorts, well... He is irrelevant to the extreme.

Evidently, the best characters are Satan and his entourage, the most delightful being Koroviev and the fucking awesome Behemoth. Instantly likeable, and instantly a surprise, considering the time and place of this book's birth. Classic slapstick, almost as graphically pleasing as comic strip humour. Supervly visual, though I rarely find Russian literature to excel in this department. I would recommend this book for the dialogue of the demons alone.

The rest of the characters were not really important in the classic sense of the word, because mostly they were metaphors for Russian's society in the Stalinist era. It is a bit hard to separate history from the magical realism used so majestically here. The novel itself does not suffer from this but it is far from a character-driven situation.

The book itself is a testament to the resilience of literature and culture but it is also a critique of a very messed up period. It reads as magical realism, but it does get quite heavy at times. I don't know how the other versions are but I definitely appreciated the end notes in the one I read. It gave perfect explanations of elements I would have otherwise had to google, and perfect snippets that helped create the frescoe in my mind. I obviously enjoyed the many references to one of my favourite operas, Faust. I too was delighted.

Damn it, I would have given this five stars if only Margarita had flown away with Satan & co on those awesome horses. Men who are geniuses but are so entirely passive and melancholy do not deserve the fiery love of extremely atemporal and driven women.

charlottebeyts's review against another edition

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4.0

Fever dream

sarsh's review against another edition

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adventurous challenging funny medium-paced
  • Plot- or character-driven? A mix
  • Strong character development? Yes
  • Loveable characters? It's complicated
  • Diverse cast of characters? Yes
  • Flaws of characters a main focus? Yes

3.75

keoc333's review against another edition

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funny slow-paced
  • Plot- or character-driven? A mix

3.25

arae0311's review against another edition

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5.0

This was a reread for uni and as much as I love this book, it isn't for everyone. Knowing the historical background to this text is one of the keys to enjoying it, and imo it's not worth forming a full opinion on without reading it twice. This is one of those books where you can read it again and again and get something new out of it every time. My advice would be to READ THE INDEX as you go along, and if you're like me, jot your thoughts down in the margin and annotate the hell out of it to keep track of your thoughts as you read, because this book can get really confusing really fast if you don't follow even for a paragraph.

If you like Soviet history, magic realism, and satire, and have the patience, read this book.

choupitali's review against another edition

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5.0

The Master and Margarita est un roman de Mikhail Bulgakov qui a subi un véritable parcours du combattant afin de voir le jour. Écrite entre 1928 et 1940 sous le régime de Staline, cette œuvre n'a pas pu être révisée avant la mort de l'auteur. Une version censurée fut malgré tout publiée dans le magazine Moskva de 1966 à 1967, mais il fallut attendre 1973 pour enfin lire ce livre dans son intégralité. Mais de quoi parle donc ce roman ?
The Master and Margarita peut être divisé en deux parties. La première nous permet de faire la connaissance de Woland et de ses acolytes, le petit groupe se faisant un malin plaisir à ruiner la vie de plusieurs habitants de Moscou, tandis que la deuxième partie se concentre sur Margarita.

À lire cette œuvre, il est évident que l'on assiste à une satire du contexte de l'époque, que ce soit d'un point de vue politique, économique, ou même social. C'est d'ailleurs à la manière d'un conte philosophique de Bulgakov nous délivre sa pensée.
Le lecteur comprend très vite que Woland est le diable, pourtant le destin des personnages qui le croisent varie selon leurs actions. En effet, seuls les êtres corrompus et prompt à la lâcheté subissent un châtiment à la hauteur de leurs fautes et vices, tandis que la bonne foi et le dévouement sont récompensés à leur juste valeur. De cette façon, on assiste à une sorte de justice poétique, rendant le diable plutôt sympathique puisque ce dernier n'est pas à la source des maux, mais travaille à l'équilibre du bien et du mal provoqués par la nature humaine. Il s'agit d'un thème imprégnant tout le récit, et qui est résumé par Woland dans cette citation :

But would you kindly ponder this question: What would your good do if evil didn't exist, and what would the earth look like if all the shadows disappeared? After all, shadows are cast by things and people. Here is the shadow of my sword. But shadows also come from trees and living beings. Do you want to strip the earth of all trees and living things just because of your fantasy of enjoying naked light? You're stupid.



Hormis ces réflexions sur l'étendue des capacités de la nature humaine, The Master and Margarita possède toute une méditation sur l'art, et de ce côté-là, on ressent véritablement une part autobiographique. En effet, Mikhail Bulgakov eut de nombreux problèmes avec sa profession. Subissant la censure et voyant ses confrères emprisonnés, l'auteur désirait une liberté de création, mais son combat se teinta de pessimisme. Il brûla le premier manuscrit de The Master and Margarita, pour finalement le réécrire et le réviser jusqu'à la fin de sa vie. Ce fut le soutient de sa femme Elena Shilovskaya qui lui permit de maintenir le cap, celle-ci étant à l'origine de la première publication. Des éléments qui sont fortement similaires avec l'histoire des deux personnages éponymes. C'est donc toute une lutte qui nous est racontée dans ce récit, une incapacité à produire cet art, accompagnée d'une impossibilité à renoncer à ce désir de création.
Toutefois, malgré la noirceur qui se dégage des moments comiques et dramatiques, The Master and Margarita porte un message d'espoir. On le voit dans la justice rendue, mais spécialement dans le personnage de Margarita. Figure indéniablement forte, elle est celle sans qui le monde présenté ne tournerait pas rond. D'abord enfermée dans une vie qui lui déplaît, elle brise ses chaînes et goûte à la liberté, ce qui lui permet d'influencer son entourage d'une bonne manière. Portant un amour inconditionnel envers le Maître, elle devient donc sa béquille lorsque l'homme est tenté d'abandonner. Incarnant ce que la nature humaine à de meilleur à offrir, elle obtient donc une récompense de la part de Woland. Margarita est la paix dans tout ce tumulte.

Tous ces thèmes sont déjà intéressants en soi, mais c'est la façon dont ils sont exposés qui rend le roman si fascinant. Alternant les points de vue, accumulant diverses références, The Master and Margarita donne l'impression d'entrer dans un rêve. On y retrouve des éléments de la réalité, mais certains sont modifiés et fantasmés avec un voile de fantastique. Comme le personnage de Bezdomny au début de l’œuvre, on s'étonne de voir un chat essayer de payer un ticket de tramway, mais petit à petit, on se laisse porter par la douce folie de ce récit et l'on accueille les étrangetés avec plaisir.
La plus grande d'entre elles est bien entendu les interludes concernant Ponce Pilate. Pourtant, au fil des pages, le lien de cette histoire avec le reste est limpide. Le procurateur a pour profession d'accomplir la justice, mais il est assailli de doutes et se sent écrasé par la société qui l'entoure, son esprit n'étant apaisé que par son fidèle compagnon Banga. Enfin, son récit est à l'image de l’œuvre elle-même, un mélange de la réalité et de la fiction, fusionnant les souvenirs de Woland et la création du Maître.

Finalement, The Master and Margarita est un livre fantastique, dans tous les sens du terme. À la fois touchant, pertinent, et ensorcelant, il mérite son statut de classique de la littérature russe. On peut bien sûr remarquer quelques incohérences dans la deuxième partie dues au côté inachevé du roman, mais elles ne sont pas dérangeantes. En outre, lorsque l'on constate ce qu'a pu nous offrir Bulgakov, on ne peut que rester songeur devant l'idée de ce que cette œuvre aurait pu être si l'auteur avait eu le temps de la polir selon ses souhaits.

kyuni's review against another edition

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5.0

La novela que más he leído y quizás mi favorita y por lo tanto la mejor que hay.

tayloreve07's review against another edition

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This was one of the strangest books I've ever read. That's all I'm saying for now. Please hold for further commentary.