Reviews

The Writing of the Disaster by Maurice Blanchot, Ann Smock

howattp's review against another edition

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3.0

This is one of the more depressing things I've ever read. It's entirely about the inevitable, impending disaster that we all will experience, in some form, during our lives. There are some oddly hopeful moments, but it's so fractured and disorienting that you need to talk through it with someone.

spacestationtrustfund's review against another edition

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3.0

Le désastre ruine tout en laissant tout en l'état. Il n'atteint pas tel ou tel, « je » ne suis pas sous sa menace. C'est dans la mesure où, épargné, laissé de côté, le désastre me menace qu'il menace en moi ce qui est hors de moi, un autre que moi qui deviens passivement autre. Il n'y a pas atteinte du désastre. Hors d'atteinte est celui qu'il menace, on ne saurait dire si c'est de près ou de loin—l'infini de la menace a d'une certaine manière rompu toute limite. Nous sommes au bord du désastre sans que nous puissions le situer dans l'avenir : il est plutôt toujours déjà passé, et pourtant nous sommes au bord ou sous la menace, toutes formulations qui impliqueraient l'avenir si le désastre n'était ce qui ne vient pas, ce qui a arrêté toute venue. Penser le désastre (si c'est possible, et ce n'est pas possible dans la mesure où nous pressentons que le désastre est la pensée), c'est n'avoir plus d'avenir pour le penser.
  Le désastre est séparé, ce qu'il y a de plus séparé.

kylefwill's review against another edition

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4.0

"To write is perhaps to bring to the surface something like absent meaning, to welcome the passive pressure which is not yet what we call thought, for it is already the disastrous ruin of thought."

"To write is to accept that one has to die without making death present and without making oneself present to it. To write is to know that death has taken place even though it has not been experienced, and to recognize it in the forgetfulness that it leaves."
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